Cavaliers en Tanzanie
Afrique > Tanzanie

Randonnées et safaris à cheval en Tanzanie

Un safari à cheval en Tanzanie est une façon exceptionnelle de parcourir le pays. Cette observation équestre de la faune se déroule essentiellement dans le nord du pays, en dehors des parcs nationaux et en plein pays Maasaï. Des contreforts du Kilimandjaro, le toit de l'Afrique (5895 mètres), aux grandes plaines qui s'étendent aux confins d'Amboseli ou dans la rift vallée avec le lac Natron, vous chevauchez en itinérance, déplaçant, tous les 1 ou 2 jours, votre camp confortable de type "Out of Africa". Les itinéraires des différents safaris à cheval, que nous proposons, s'adaptent aux déplacements de la faune. C'est un voyage à cheval en Tanzanie d'un autre temps, une immersion dans une nature vierge, rude et humaine. Un voyage qui éveille.
Voir tous nos voyages

L'avis des cavaliers

  • Chevauchez la grande Migration
    mars 2024 Laure 51 ans
    Des paysages variés ,des chevaux excellents et le staff qui relève haut la main le fait de changer de camp tous les deux jours tout en étant aux petits soins pour nous ! Osaka : grande jument toujours à l écoute, confortable, rapide :)
    Découvrir ce voyage équestre
  • Sur la piste des éléphants du Kilimandjaro
    août 2023 Francois 57 ans
    Une très belle randonnée qui permet, avec les changements de lieux de campement, de varier les paysages et la faune rencontrés, en profitant de l'immensité des espaces. Une réussite à tout point de vue : cadre, organisation, cavalerie, hébergement... et qualité / gentillesse de toute l'équipe ! Très bonne cavalerie.... Lire en entier
    Découvrir ce voyage équestre
  • Safari à cheval en Tanzanie
    Cavaliers et éléphant en Tanzanie
  • Rando à cheval en Tanzanie
    Découverte de la Tanzanie à cheval
  • Camp équestre en Tanzanie
  • A cheval en Tanzanie
    Guide équestre en Tanzanie
  • Lycaons lors d'un safari à cheval en Tanzanie
  • A cheval au cœur de la Tanzanie
    Cavaliers dans le paysage de Tanzanie
  • Safari à cheval en Tanzanie
  • Découverte à cheval en Tanzanie
    Rencontres en Tanzanie
  • Cheval au lac Natron en Tanzanie
    Cavaliers au lac natron en Tanzanie
  • Belles lumières à cheval en Tanzanie

Visa & santé

Formalités

Un passeport en cours de validité et valable 6 mois après votre retour est indispensable dans presque tous les pays du monde pour les ressortissants français, belges et suisses. Vérifiez impérativement ce passeport. Il est de votre seule responsabilité d’obtenir votre passeport et de vous conformer à la réglementation d’entrée dans ce pays avant la date de votre départ. Il doit comporter deux pages vierges minimum..

Important :
A compter du 1er juin 2019, les sacs en plastique seront interdits en Tanzanie.
L'utilisation de sacs en plastique, y compris les sacs à ordures et les sacs à provisions, sera désormais illégale. Les voyageurs peuvent être condamnés à de très lourdes amendes.
Afin d'éviter toute discussion et éventuels problèmes, nous vous conseillons d'éviter de mettre des sacs en plastique dans vos valises ou bagages à main avant de vous envoler pour la Tanzanie.
Les articles achetés à l'aéroport avant d'embarquer dans l'avion doivent être retirés des sacs en plastique. De même, les sacs en plastique transparents «à fermeture à glissière» autorisés par les compagnies aériennes pour garder les produits, les liquides ou les cosmétiques, ne sont pas non plus autorisés.
Vérifiez bien vos bagages avant de débarquer aux points d'entrée et laissez les sacs en plastique dans l'avion.

Mineurs:
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel.
A partir du 15 janvier 2017, l'autorisation de sortie du territoire est rétablie pour les mineurs français voyageant sans au moins l'un de leurs parents.
Si vous voyagez avec des enfants mineurs, vérifiez les formalités de sortie du territoire les concernant. Vous pouvez demander des informations auprès de la mairie de votre domicile, ou de la préfecture et consulter le site Service- public http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F14930.xhtml

Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation ( https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.

Visa :
Visa obligatoire pour les ressortissants français, belges ou suisses.
Un e-visa a été mis en place par les autorités tanzaniennes.
Documents requis :
Une photo d’identité scannée
Un scan passeport au format jpeg ou png, taille maximale 300 kb
Un billet d’avion retour (ou attestation de voyage) au format pdf, taille max 1 mb.

Coût, 50 dollars US ; délai d'obtention, de 2 à 3 semaines.
Demande en ligne sur le site Service Immigration : https://visa.immigration.go.tz/

Il est aussi possible d'obtenir un visa à l’arrivée en Tanzanie, aux points d’entrée suivants : aéroport Dar es Salaam, Arusha, Zanzibar, Kilimandjaro Airport. Tarif, 50 dollars US, payables en liquide (pas d'euros) ou par carte bancaire (il est recommandé de disposer de la somme en espèces, en cas de panne du terminal). Désormais, en plus de l’habituelle Arrival Declaration Card, le voyageur doit compléter un formulaire de demande de visa au guichet des services d’immigration.
Dans son ensemble, la procédure peut être longue, aussi l'e-visa est-il recommandé.

Zanzibar
Taxes touristiques à régler sur place : elles ont pour but de développer les infrastructures routières, portuaires et aéroportuaires : 1 dollar US par personne et par nuit à régler directement aux hôtels lors du séjour du client ; 1 dollar US par personne par personne à régler à l’aéroport au départ de Zanzibar pour les vols domestiques.

Depuis le 1er novembre 2018, les voyageurs quittant la Tanzanie en avion doivent s'acquitter d'une taxe de 5 dollars US par personne. A régler en espèces.

En cas de transit par le Kenya par voie aérienne, avec un vol en continuation sur Kilimanjaro Airport, vous restez en zone de transit dans l’aéroport de Nairobi et vous n’avez pas besoin de visa Kenyan.

Seuls les dollars américains postérieurs à 2004 sont acceptés pour le paiement des frais de visa à l’entrée de la Tanzanie.

Les autorités de Zanzibar ont introduit une assurance voyage obligatoire pour toute personne se rendant sur l’île à compter du 1er octobre 2024. Cette assurance est vendue par la société d’assurances de Zanzibar au prix de 44$ par personne, et est valable pour une durée de 92 jours. Son achat est obligatoire, même pour les voyageurs bénéficiant ou ayant déjà souscrit à une assurance voyage.

Cette assurance s’applique uniquement à Zanzibar. Elle n’est ni demandée, ni valable, pour les voyageurs se rendant en Tanzanie continentale (notamment pour le Kilimandjaro et les réserves animalières).

Conseils pour l'obtention du visa

Les informations mentionnées ne sont qu'indicatives pour les ressortissants Français. Elles peuvent être sujettes à modification sans préavis de la part des autorités concernées. Il est donc prudent de les vérifier auprès du consulat systématiquement avant d'envoyer votre dossier.

Adresses des consulats

  • Paris | Ambassade de Tanzanie
    7 ter rue de Leonard de Vinci
    75116 Paris
    Tél. : 01.53.70.63.66
    Fax :
    ambtanzanie@wanadoo.fr
  • Ambassade de France en Tanzanie
    Ali Hassan Mwinyi Road
    PO Box 2349
    Dar es Salaam
    Tél. : +255 22 219 88 00
    Fax :
    contact@ambafrance-tz.org
  • Tanzanian High Commission
    3 Stratford Place
    W1C 1AS London
    Tél. : +44 (0) 207 569 1470
    Fax :
    balozi@tanzania-online.gov.uk

Santé

- La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est recommandée.
- Autres vaccinations conseillées (selon conditions d’hygiène et durée du séjour) : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B et méningite à méningocoque A + C.
- Le gouvernement tanzanien a assoupli sa réglementation concernant la vaccination contre la fièvre jaune. Cette dernière n’est désormais en principe exigée que pour les personnes en provenance d’un pays où cette fièvre est endémique, ou pour les personnes qui ont transité plus de 12 heures par un de ces pays.
Ces pays sont : Afrique : Angola, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Cap Vert, République centrafricaine, Congo, Congo (RDC), Côte d’Ivoire, Ethiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée Bissao, Guinée équatoriale, Kenya, Liberia, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, Ouganda, Rwanda, Sao Tomé et Principe, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Soudan, Tchad, Togo. Amérique du Sud : Argentine, Bolivie, Brésil, Colombie, Equateur, Guyane, Guyana, Panama, Paraguay, Pérou, Surinam, Trinidad et Tobago, Vénézuela.
- La vaccination contre la rage peut également être proposée dans certains cas. Demandez conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales.

PALUDISME
Cette maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques impose le recours à des mesures de protection individuelle (vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électriques, moustiquaires…). A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé.
Classification : zone 3.
Durant votre séjour, et durant les deux mois qui suivent votre retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement.
On signale une nette augmentation du nombre de cas de paludisme depuis quelques années, notamment dans la région de Dar Es Salam. La plus grande vigilance est recommandée en ce qui concerne le respect des mesures de prévention.

Dengue :
La dengue est présente en Tanzanie depuis quelques années. Cette maladie est transmise par simple piqûre de moustique.
Les symptômes de la maladie s’apparentent à ceux de la grippe (forte fièvre, douleurs articulaires, maux de tête). La dengue pouvant prendre une forme dangereuse, il est vivement recommandé de consulter un médecin en cas de fièvre (la prise d’aspirine est formellement déconseillée).
Il convient par conséquent de se protéger systématiquement des moustiques, de jour comme de nuit (vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électriques, moustiquaires), en particulier à Dar-Es-Salaam et ses environs, ainsi que sur l’archipel de Zanzibar.

La fièvre de la vallée du Rift
Des cas de fièvre de la vallée du Rift ont été signalés dans le Nord du pays (région d’Arusha). Cette maladie du bétail peut être transmise par contact direct avec le sang ou le lait de l’animal ou par une piqûre de moustique. Afin de réduire les risques de contracter cette maladie potentiellement grave, il est recommandé d’éviter tout contact avec des produits crus d’origine animale, de veiller à une cuisson suffisante des aliments (en particulier du lait) et de se protéger soigneusement des piqûres de moustiques, de jour comme de nuit.

Quelques cas de Trypanosomiase Humaine Africaine (maladie du sommeil) ont été rapportés ces dernières années chez des touristes ayant séjourné dans les grands parcs animaliers du pays. La maladie demeure pourtant assez rare et ne touche que les zones où sont présents des animaux sauvages. Sa prévention repose sur des mesures permettant de diminuer ou d’éviter le contact avec la mouche Tsé-tsé (qui pique dans la journée) : port de vêtements clairs et longs, utilisation de répulsifs sur la peau et les vêtements. Toute personne ayant séjourné dans les réserves animalières et présentant des troubles, notamment des lésions cutanées et/ou de la fièvre, doit consulter d’urgence un médecin.

Avant votre départ, nous vous conseillons de consulter votre médecin, qui seul pourra vous fournir des indications fiables sur votre état de santé général, et qui fera un point sur vos vaccinations habituelles ainsi que sur les vaccinations recommandées pour votre destination.

Sur les sites suivants, vous trouverez des conseils à suivre avant votre départ :
Institut de veille sanitaire - http://www.invs.sante.fr/
Institut Pasteur - http://www.pasteur.fr

La majorité des hôpitaux ont un service pour les maladies infectieuses et tropicales. Pour plus d'informations, veuillez consulter celui le plus proche de chez vous.

La responsabilité de Cheval d'Aventure ne saurait être engagée dans le cas où vous devriez rentrer en France à cause du non respect de ces obligations personnelles de santé.

Assurance

Vous devez absolument être assuré en assistance et rapatriement pour participer à nos voyages.

Nous vous proposons une assurance MULTIRISQUES comprenant l'annulation, l'interruption et l'assistance rapatriement pour tous les pays du monde où nous voyageons. En cas d'incident au cours du voyage, les accompagnateurs connaissent bien les procédures de rapatriement ou d'assistance. Leur mise en jeu est ainsi largement facilitée.

Si vous ne souscrivez pas notre assurance MULTIRISQUES, nous vous demandons de signer une décharge de responsabilité et de vérifier que vous êtes assurés par ailleurs. Vérifiez les garanties souscrites et les processus de déclenchement, emportez avec vous le numéro de téléphone d'urgence de votre assurance.

Enfin, faire une liste chiffrée du contenu de votre sac peut également être une bonne précaution en cas de destruction ou de perte de celui-ci !

ATTENTION :
Les autorités de Zanzibar ont introduit une assurance voyage obligatoire pour toute personne se rendant sur l’île à compter du 1er octobre 2024. Cette assurance est vendue par la société d’assurances de Zanzibar au prix de 44$ par personne, et est valable pour une durée de 92 jours. Son achat est obligatoire, même pour les voyageurs bénéficiant ou ayant déjà souscrit à une assurance voyage.

Cette assurance s’applique uniquement à Zanzibar. Elle n’est ni demandée, ni valable, pour les voyageurs se rendant en Tanzanie continentale (notamment pour le Kilimandjaro et les réserves animalières).


Voltage

Prises électriques : nous vous invitons à consulter le site internet ci-dessous afin d’obtenir toutes les informations sur les prises électriques de la destination de votre voyage.


Dans les 4x4, prise allume cigare avec adaptateur 12V.

Budget et argent

La monnaie officielle est le shilling Tanzanien. Changer des euros en shillings pour vos dépenses personnelles, et prendre la somme exacte en dollars pour les entrées dans les parcs nationaux. Les pourboires pourront être payés en shillings, euros ou dollars. Favorisez toutefois les paiements en shillings et en dollars. La carte bancaire est peu acceptée ou à des taux exorbitants.

Téléphone et décalage horaire

Il existe un décalage horaire de + 3 heures en hiver + 2 heures en été.
Indicatif : +255

Informations pays

Carte d'identité du pays

Intitulé officiel : République unie de Tanzanie
Informations administratives : Membre du Commonwealth
Capitale : Dodoma
Superficie : 945 087 km2
Population : 49 250 000 habitants
Peuples et ethnies : 99% d'africains (plus de 130 groupes ethniques), 1% d'Asiatiques, d'Européens et d'Arabes
Langue : swahili, anglais et dialectes indigènes
Religion : 30% de chrétiens, 35% de musulmans, 35% d'animistes
Régime politique : République (Etat multipartite), régime parlementaire
Le saviez-vous ? : Un berceau de l’humanité Une groupe d’australopithèques a laissé ses empreintes fossilisées dans la boue de la gorge d’Olduvaï (parc du Ngorongoro) il y a 3,5 millions d’années. C’est la plus ancienne preuve de bipédie de l’humanité.

Les chevaux en Tanzanie:
L'histoire des chevaux en Tanzanie est tissée à travers des siècles d'échanges culturels et d'influences coloniales. Contrairement à d'autres régions où les chevaux étaient indigènes, l'histoire de la Tanzanie avec ces animaux majestueux a principalement débuté par le commerce et l'époque coloniale. Dès les 8e et 9e siècles, les commerçants arabes ont introduit des chevaux le long de la côte swahilie. Cependant, le climat humide et infesté de mouches tsé-tsé a limité leur déplacement à l'intérieur des terres, en raison de maladies comme la trypanosomiase.

Ce n’est qu’au 19e et au début du 20e siècle, sous la domination coloniale allemande et britannique, que les chevaux ont gagné une présence plus importante. Les colonisateurs les utilisaient à des fins militaires, pour des patrouilles et pour le transport dans des zones moins touchées par la mouche tsé-tsé. Les chevaux étaient également employés par les premiers explorateurs et colons, en particulier dans les régions plus élevées et fraîches du pays, où ils étaient moins vulnérables aux maladies.

Ces dernières décennies, un développement notable dans l'histoire équestre de la Tanzanie a été l'importation de chevaux australiens. Ces races robustes, connues pour leur résilience et leur adaptabilité, ont été introduites pour renforcer les populations équines et améliorer la diversité génétique. Réputés pour leur endurance et leur résistance aux maladies, ces chevaux se sont révélés bien adaptés à l’environnement unique de la Tanzanie. Aujourd’hui, ces importations ont contribué à enrichir la culture équestre en plein essor, valorisant les expériences de safaris à cheval et façonnant un héritage moderne de l’équitation dans le pays.

Données socio-économiques

- Principales activités : tabac, café, coton, sucre, sisal, mines de diamants et d'or, raffineries de pétrole, ciment, tourisme
- Principaux partenaires : Chine, Inde, Pays-Bas, Japon, Allemagne, Ouganda, Kenya

Histoire


La Tanzanie est une terre riche d'histoire, marquée par des échanges culturels, des migrations, des empires et la colonisation. Voici un aperçu des moments clés de son histoire, jusqu'à aujourd'hui.

Époque ancienne

    2000 av. J.-C. : Les premiers habitants connus de la région, les Khoïsan, étaient des chasseurs-cueilleurs nomades. Ils furent progressivement supplantés par les peuples bantous, venus de l'ouest et du centre de l'Afrique.
    IVe siècle ap. J.-C. : Les Bantous s'installèrent dans la région, apportant l’agriculture, le travail des métaux et la poterie, formant les bases des premières sociétés organisées.

Échanges et émergence des cités-États swahilies

    VIIIe siècle : Les Arabes commencèrent à commercer le long de la côte swahilie, introduisant l'islam et stimulant la formation de cités-États comme Kilwa, Zanzibar et Pemba, qui devinrent prospères grâce au commerce de l'or, de l'ivoire et des esclaves.
    XIVe siècle : Kilwa Kisiwani atteignit son apogée, contrôlant le commerce maritime entre l'Afrique de l'Est, le Moyen-Orient et l'Asie.

Période coloniale

    1498 : Le navigateur portugais Vasco de Gama longea la côte, marquant le début de la domination portugaise, qui dura près de deux siècles.
    1698 : Les Arabes d’Oman renversèrent les Portugais et établirent leur contrôle sur Zanzibar et la côte, transformant Zanzibar en un centre du commerce d’esclaves.
    1885 : L’Allemagne colonisa le Tanganyika (partie continentale actuelle de la Tanzanie) lors du partage de l’Afrique à la conférence de Berlin. Zanzibar resta sous influence britannique avec un sultanat arabe.
    1919 : Après la Première Guerre mondiale, le Tanganyika devint un mandat britannique sous la Société des Nations.

Lutte pour l’indépendance

    1954 : Julius Nyerere fonda le Tanganyika African National Union (TANU), un parti politique qui militait pour l’indépendance.
    1961 : Le Tanganyika devint indépendant le 9 décembre avec Nyerere comme Premier ministre.
    1963 : Zanzibar accéda à l’indépendance, mais une révolution éclata rapidement, renversant le sultanat.
    1964 : Le Tanganyika et Zanzibar fusionnèrent pour former la Tanzanie le 26 avril, avec Julius Nyerere comme président.

Époque contemporaine

    1967 : Nyerere instaura la politique de l’ujamaa (socialisme africain), favorisant la collectivisation agricole et l’autosuffisance économique. Bien que bien intentionnée, cette politique provoqua une crise économique.
    1985 : Nyerere démissionna et fut remplacé par Ali Hassan Mwinyi, qui amorça une transition vers une économie de marché.
    1992 : La Tanzanie adopta le multipartisme après des décennies de régime de parti unique.
    2005 : Jakaya Kikwete devint président et renforça les infrastructures et le tourisme.
    2015 : John Magufuli fut élu président, marquant une ère de lutte contre la corruption et d’investissements massifs dans les infrastructures, bien que son style autoritaire suscitât des controverses.
    2021 : Après la mort de Magufuli, Samia Suluhu Hassan devint la première femme présidente de Tanzanie.

Aujourd’hui

La Tanzanie est une nation paisible et stable, fière de sa diversité culturelle et de ses richesses naturelles. Comptant des trésors comme le mont Kilimandjaro, le parc national du Serengeti et l’archipel de Zanzibar, elle s’impose comme une destination phare pour le tourisme mondial. Avec une économie en développement, elle continue de relever des défis liés à la croissance démographique, à l’éducation et à la préservation de l’environnement, tout en aspirant à un avenir prospère et inclusif.

Géographie

GENERAL:
Pays de plaines, de lacs et de montagnes bordé d'une étroite bande côtière, la Tanzanie est le plus grand pays d'Afrique orientale. Elle est formée d'un plateau montagneux semi-désertique, en partie couvert de savane et de bush clairsemé. Ses plus hautes montagnes, le Meru (4 556 m) et le Kilimandjaro (le plus haut sommet d'Afrique, culminant à 5 895 m) se dressent au nord-est, à la frontière avec le Kenya.

FAUNE ET FLORE:
Dotée de quelques-unes des plus grandes réserves naturelles du monde, la Tanzanie regroupe en outre de très importantes populations d'éléphants, de buffles, de crocodiles, d'hippopotames, de chacals et de chimpanzés. Nulle part ailleurs qu'en Tanzanie on ne voit de si importants troupeaux de gnous, de gazelles, de zèbres et d'antilopes.

Les Parcs nationaux ont été mis en place pour préserver ce riche héritage naturel du pays, et pour conserver intacts des territoires où la faune et la flore peuvent prospérer, protégés d’une population humaine toujours croissante.
L’accès à ces parcs est réglementé et payant. Les sommes ainsi collectées permettent la conservation et la protection de la nature, ainsi que le financement de travaux de recherche sur la faune et la flore.

Le tourisme fournit d’importants revenus utilisés pour soutenir le travail de protection des Parcs Nationaux. Il permet aussi l’éducation et le bien être des communautés locales. En outre, le tourisme permet une prise de conscience internationale des problèmes de protection, et la présence physique des touristes décourage les activités illégales de braconnage, aidant ainsi les guides des Parcs dans leur travail de gestion de la nature.

Au cours de votre visite dans ces parcs, nous vous rappelons qu'il est interdit de ramasser quoi que ce soit (os, restes d'animaux, cueillir des fleurs, plantes,...). Les feux ne sont autorisés que dans les lieux de campement, et doivent être éteints avec grand soin avant votre départ. Et nous vous demandons de veiller attentivement à ne rien laisser derrière vous après votre départ (mégots de cigarettes, déchets divers, restes du pique nique...).


PARCS ET LIEUX VISITES:

- LE SERENGETI : immense sanctuaire de 15 000 km2 a été érigé en Parc National en 1951. Son nom provient du maasaï " Siringet " qui signifie " aire étendue ". Situé entre les montagnes du N’Gorongoro et le Parc kenyan du Maasaï Mara, à une altitude entre 1 000 et 2 000 mètres, il présente une incroyable diversité d’espèces animales. La savane herbeuse du Serengeti permet une observation facile des interactions entre les différentes espèces : ordres de préséance, chaines alimentaires sont des évènements quotidiennement observés.
Notre cheminement à travers ce parc dépendra véritablement de la saison, car le Serengeti est le théâtre de la Grande Migration : entre fin mai et juin, lorsque la grande saison des pluies se termine, 1 250 000 gnous et plus de 250 000 zèbres, réunis dans le Serengeti prennent la direction du Nord vers le Maasai Mara côté kenyan, région qu’ils quitteront fin novembre - début décembre, afin de rejoindre le secteur du Lac N’Dutu et des hautes plaines de N’Gorongoro. Fin février – début mars, 80 % des naissances de ces herbivores ont lieu sur une période de 15 jours, dans les plaines du Serengeti, entre l’entrée du Parc et Seronera. C’est donc un spectacle incroyable qui se déroule en permanence sous vos yeux.
Donc en fonction de la période de voyage nous irons au Nord, à l’Ouest ou au Sud du parc, sachant que quelle que soit la saison, les forêts-galeries qui longent les rivières de Mara, Grumeti, Sand... permettent, une observation de qualité : élans du Cap, topis, bubales, buffles et éléphants… ne migrent pas, ainsi que les prédateurs dominants (donc territoriaux). Même les lions dépassent le chiffre exceptionnel de 2000 unités au Serengeti. Quant aux oiseaux, ils y sont représentés par plus de 350 espèces.

- N’GORONGORO, immense zone de conservation, qui ne se résume pas au cratère. Elle a été crée en 1974 dans le but de protéger les écosystèmes ainsi que tous ses habitants, les animaux donc, mais aussi les populations Maasaï, qui participent pleinement au maintien de ces écosystèmes sauvages. Par ailleurs ce parc abrite les sites préhistoriques d’Olduvaï et de Laetoli, témoins des origines de l’humanité.
Ce parc protège plus de 30 000 animaux d'une incroyable diversité. La zone la plus connue et fréquentée est le cratère du Ngorongoro. Lorsque l'on descend au fond de ce vieux volcan, on éprouve toujours le sentiment de pénétrer dans la coque d'une Arche de Noé naturelle. Aujourd’hui, quasiment tous les carnivores et herbivores de plaine ou de savane boisée y ont élu domicile. On trouve également un lac sodique où vivent des flamants roses, ainsi qu’un lac d’eau douce avec ses hippopotames. Les rhinocéros noirs sont bien protégés et il n’est pas rare de pouvoir les observer.
Depuis janvier 2006, les autorités du parc limitent à 6 heures le temps passé par véhicule dans le cratère, nous sommes donc dans les règles.

- TARANGIRE : Au coeur de la Rift Valley, le Tarangire, créé en 1970, est un parc national méconnu et pourtant fabuleux... Situé à basse altitude en comparaison de Ngorongoro et Serengeti, son écosystème est particulier, composé de savane arbustive sur un terrain très vallonné, et ponctué de nombreux baobabs. L’atmosphère très africaine qui y règne vous séduira à coup sûr. Le parc doit son nom à la rivière Tarangire qui la traverse, et qui pour les animaux à la recherche d'eau et de pâturage, est un lieu de prédilection. Les éléphants sont particulièrement nombreux. Durant la grande saison sèche, de juillet à octobre, toute la faune des grandes steppes maasaï vient élire domicile dans le parc, et les herbivores, contraints de venir boire à la rivière, sont attendus par les prédateurs ! Vous y trouverez aussi des rhinos, impalas, girafes, quelques rares koudous, les dikdiks, lions, guépards, hyènes...

- MANYARA NP : Créé en 1960, ce petit parc national couvre 325 km2 et présente une grande variété de milieux écologiques, donc de nombreuses espèces d’animaux. “Emanyara” est un mot maasaï qui désigne une variété d’euphorbe utilisée pour fabriquer des enclos pour le bétail. Le lac Manyara est situé au pied de l’escarpement du bras oriental de la Rift Valley, grande faille tectonique d’Afrique, qui s’étend (pour sa partie orientale) de Djibouti à la Tanzanie. Situées à 945 mètres d’altitude, les attractions majeures du Parc sont les lions et les éléphants, mais aussi les sources chaudes et les montagnes du Rift.
En raison de la variété de ses habitats (lac, forêt humide, bush à acacias), ce parc offre une diversité incroyable : en témoigne le nombre d’espèces d’oiseaux que l’on peut y observer, 380. La forêt mixte qui couvre 2300 hectares est le milieu de prédilection de l’éléphant, la girafe, le zèbre et l’impala. Les plaines alcalines qui bordent le lac fournissent un pâturage excellent aux gnous, aux buffles et aux zèbres. Enfin, le bush et les contreforts du Rift qui comptent de splendides baobabs sont fréquentés par les éléphants, les babouins et d’immenses vautours toujours à l’affût d’une charogne à nettoyer. Quant à la plage aux hippos, c’est surtout la gent ailée qui retiendra notre attention... outre les hippopotames.

- LA MIGRATION DES GNOUS EN TANZANIE ET AU KENYA représente un trek de 1000 kms tous les ans !

Constituée de 1 à 2 millions de gnous, et de quelques centaines de milliers de zèbres et d’antilopes. La migration se déplace en colonnes de 30 ou 40 km de long qui peuvent couvrir jusqu'à 80 km / jour. Ils parcourent une boucle qui les amène selon la saison des pluies entre le sud du Serengeti et de l'aire de conservation du Ngorongoro en hiver et les plaines du nord du Serengeti et le parc de Masai Mara au Kenya en été.
- De janvier à mars, la migration est concentrée dans le sud-est du parc du Serengeti, région des grandes plaines et des kopjes (sur lesquels aiment se prélasser les grands fauves).
En avril les gnous avancent vers le nord et ils approchent la Grumeti river qu'ils traversent en juillet.
- La grande migration quitte entre mai et juin les plaines du sud du Serengeti pour rejoindre les zones plus humides du nord ouest et atteindre le Masaï Mara en été.
- Juillet est la saison sèche, l'eau et l'herbe verte se font plus rares. Les gnous continuent leur progression vers le nord et passent la Grumeti River. C'est l'occasion de photographier ou de filmer les fameux "crossings" où les gnous sont en prise avec les gigantesques crocodiles du Nil. Une autre partie des troupes part directement en direction du Masai Mara en passant par la région de Lobo.
- Août et Septembre : la majeur partie de la migration est maintenant passée au Kenya pour redescendre vers le sud-est du Serengeti à partir de fin octobre, à l’approche de la nouvelle saison des pluies, à la recherche de l’herbe verte et tendre.
- Octobre et Novembre constituent la migration descendante. En privilégiant les régions de Lobo et de Natron vous pourrez assister à son passage dans de très beaux paysages.

- ZANZIBAR - L’ILE ET LA VIEILLE VILLE : La vieille ville de Zanzibar, appelée Stone Town, est située sur la côte Ouest de l’île. Les Portugais y érigèrent un fort imposant, pour protéger leur mainmise sur la route des Indes. Plus tard, ce sont les commerçants de la Péninsule Arabique qui vinrent y commercer, protégés du continent par l’insularité. Ils ouvrent ainsi la voie à une installation plus importante, notamment du Sultanat d’Oman, qui y bâtit des palais somptueux. Stone Town est depuis cette époque une « médina » dans l’Océan Indien, et Zanzibar est de ce fait devenue le berceau de la culture et de la langue swahilie, mélange d’Afrique et d’Arabie. Par ailleurs, c’est d’ici que partirent les grandes expéditions d’exploration du continent. À l’abolition de l’esclavage, ce commerce devenant prohibé par les Britanniques, l’île devint une zone de production agricole, notamment d’épices, commerce toujours florissant qui lui vaut ce surnom d’île aux épices.

- ZANZIBAR - CÔTE EST : Ici ce sont les longues plages d’un sable blanc et doux, ourlées de cocotiers, dont nous allons profiter pendant deux jours. Pour autant les hôtels sont de taille modeste, et les villages sont nombreux, ce qui anime agréablement la région. À marée basse, les femmes vont chercher les algues et les coquillages. Des vaches ruminent nonchalamment sur la plage. Des hommes passent en vélo sur le sable durci par l’eau, pour on ne sait quelle destination. Outre le repos et les bains de mers bien mérités, et que nous apprécions à la fin de ce voyage, les centres d’intérêt et les sources d’étonnement sont toujours présents, car c’est une plage habitée et vivante ! Nombreuses possibilités d’excursion, en mer ou dans les terres, organisées par votre hôtel.

- L'ILE DE MAFIA : Composée d’une île principale, de nombreux atolls coralliens et de langues de sables inhabités, Mafia est avant tout réputée pour ses superbes fonds coralliens, abritant une faune extraordinaire. La réserve marine couvre une superficie de 821 km2, qui en fait la plus grande d’Afrique de l’Est ! On y trouve parmi les meilleurs sites de plongée en apnée et en bouteille. Une myriade de petits poissons multicolores essaie de ravir la vedette aux tortues marines ou aux plus gros poissons (barracudas, mulets rouges ou autres poissons-perroquets...). Les infrastructures hôtelières sont peu nombreuses, et de ce fait l’île est relativement peu fréquentée en comparaison des autres sites côtiers plus connus sur ces côtes de l’Océan Indien.

Peuple, culture et traditions

POPULATION:
Les Masaï constituent un groupe ethnique d’éleveurs et de guerriers semi-nomades d'Afrique de l'Est, vivant principalement dans le centre et le sud-ouest du Kenya et le nord de la Tanzanie. Les Masaï appartiennent au groupe des tribus nilotiques et ont émigré depuis le sud du Soudan vers le XVe siècle, accompagnés de leur bétail domestique.

Le fait qu’il occupe de nombreux parcs animaliers d’Afrique de l’Est a probablement contribué à faire du peuple masaï l’un des plus connus du grand public. Les Masaï maintiennent leurs traditions culturelles tout en prenant part aux forces économiques, sociales, et politiques contemporaines, dans la région et au-delà.

Pour tous les voyages passant chez les Masaï:
Les Masaï sont des gens généreux et hospitaliers. Cela dit, ils sont très pointilleux en ce qui concerne les photos. “Voler” une photo peut avoir des conséquences désastreuses sur nos relations, basées sur la confiance et le respect, dans l’immédiat et dans l’avenir.
Avant de prendre une photo, veuillez systématiquement demander son avis au guide qui vous dira si cela est possible ou pas, et selon quelles conditions. Dans tous les cas, il est certain qu’il faut ménager une période d’échange et de contact humain - la présence de nos guides y contribue grandement, et il convient de s’en remettre à leur expérience - avant de sortir l’appareil.

Si vous assistez à une cérémonie, et si vous prenez des photos avec l’accord des Masaï, ne vous engagez à leur envoyer ces photos que si vous êtes sûrs de pouvoir tenir cette promesse. Les Masaï sont des personnes de parole et ne comprennent pas qu’une promesse ne soit pas tenue. Un tel oubli peut nuire aux bonnes relations qu’entretient votre guide masaï avec les villageois qui lui demandent en permanence les photos promises par les voyageurs.

La population de la Tanzanie est pourtant composée à 99% d'Africain d'origine dont 95% de bantous répartis en 130 ethnies différentes. Le 1% restant est composé d'asiatiquse (indiens, chinois), d'européens et d'arabes (Zanzibar).

LANGUE :
Les langues officielles sont le swahili et l'anglais. Il existe en outre nombre de dialectes africains, reflets de la diversité tribale du pays. Principale langue commerciale, l'anglais est moins couramment parlé dans les campagnes de Tanzanie qu'il ne l'est dans celles du Kenya. De nombreux voyageurs se rendent à Zanzibar pour y apprendre le swahili car les habitants de l'île sont censés parler cette langue dans sa forme la plus pure.

ARTS :
La musique et la danse tanzaniennes prédominent dans une grande partie de l'Afrique orientale. Le maintien de la tradition des chants en swahili, réputés pour leur rythme marqué et leurs paroles sans complaisance, est assuré par une pléiade de groupes de musiciens accompagnés de danseurs. Remmy Ongala est l'interprète le plus connu du pays. En 1928, la grande dame du genre, Siti bint Saad, fut la première chanteuse d'Afrique de l'Est à enregistrer des disques.

GASTRONOMIE :
La cuisine tanzanienne se distingue assez peu de la cuisine kenyane. Difficile d'échapper au nyama choma (viande grillée au barbecue), surtout dans les bars-restaurants. Sur la côte et les îles de Zanzibar et Pemba, le visiteur se réjouira néanmoins de pouvoir savourer divers plats traditionnels swahilis à base de fruits de mer et de poisson. Pour la boisson, on appréciera la Safari Lager, la bière nationale, ou le konyagi, un alcool très fort semblable au rhum blanc.

RELIGION :
Les deux grandes religions de la Tanzanie sont le christianisme et l'islam, l'hindouisme étant pratiqué par un quart de la population. La majorité des musulmans sont regroupés sur la côte et les îles. Le christianisme, qui s'est imposé plus tardivement (XIXe siècle) que l'Islam, touche surtout les tribus de l'intérieur des terres. L'animisme reste cependant très répandu. Quant aux Masaï, ils croient en un dieu nommé Engai et en son messie, Kindong'oi, dont leurs prêtres seraient les descendants. Le gouvernement affirme ne pratiquer aucune discrimination d'ordre religieux dans la gestion des affaires politiques et civiles.

Quelques mots d'échange

Quelques mots de Swahili:

bonjour : jambo
bienvenue : karibu
comment ça va: habari?
oui : ndiyo (ou Mmm)
non : hapana
merci : asante ou aksante
excusez-moi : samahani
minibus : matatu
avion : ndeje
train : treni
bateau : meli
taxi : teksi
voiture : gari
droite : kulia
gauche : kushoto
tout droit : moja kwa moja
hôtel (et restaurant) : hoteli
auberge : gesti
salle de bain : sbafu

Bien choisir votre chevauchée

Bien choisir votre chevauchée

SAFARI À CHEVAL
  • 'Chevauchez la grande Migration' : chaque année, les plaines infinies du Serengeti, sont foulées par des milliers de gnous et de zèbres qui migrent vers la fin mars pour atteindre, les plaines de Masaï Mara au Kenya au début de l'été.
  • 'Sur la piste des éléphants', un superbe safari surplombé par le Kilimandjaro à la rencontre des fameux "Big Five" (excepté les rhinocéros). Rencontre avec les éleveurs Masaï et la faune sauvage particulièrement dense d'Amboseli.

---
TOURISME RESPONSABLE
Économie, social, environnement, comment agir ?
Découvrez la fiche destination ATR qui décline les enjeux du tourisme responsable en Tanzanie et vous donne les premières clefs d’actions pour répondre aux problématiques économiques, sociales et environnementales.

Depuis sa création en 2004, ATR (Agir pour un Tourisme Responsable) réunit les acteurs pionniers du tourisme responsable en France. En savoir +

Sur notre blog

Un safari à cheval, c’est l’occasion d'admirer de nombreux animaux sauvages dans leur milieu naturel, lions, girafes, guépards, antilopes, phacochères… Mais aussi des kudus, des nyalas, des lycaons et autres espèces dont le nom ne nous est pas familier, mais qui sont néanmoins courantes sur le continent africain. Ce petit guide est là pour vous les présenter. >  Lire la suite