L'avis des cavaliers
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Visa & santé
Formalités
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. A partir du 15 janvier 2017, l'autorisation de sortie du territoire est rétablie pour les mineurs français voyageant sans au moins l'un de leurs parents. Les mineurs voyageant dans ces conditions devront présenter : carte d'identité ou passeport (selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire sera accessible sur le site Service- public https://www.service-public.fr/) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Attention ! Depuis le 1er octobre 2016, toute personne voyageant au Botswana avec un enfant mineur devra être en mesure de fournir une copie intégrale et certifiée du certificat de naissance de l’enfant traduit en Anglais ou un acte de naissance plurilingue en plus de son passeport en cours de validité.
Si l’enfant voyage avec un seul de ses parents, celui-ci devra présenter une autorisation de voyage signée par le parent absent, sauf dans le cas où le père ne serait pas mentionné dans l’acte de naissance.
Ces documents vous seront demandés à l’entrée comme à la sortie du territoire. Cette mesure s’applique en tout point frontalier sur le territoire y compris aux frontières terrestres.
Attention ! Si vous transitez par l’Afrique du Sud pour vous rendre au Botswana, vous devrez obligatoirement présenter un passeport comportant une page vierge.
Il est important de le noter que si vous faîtes escale et êtes en transit par l’Afrique du Sud et si vous voyagez avec un mineur, il pourra vous être demandé de respecter les formalités d’entrée des mineurs en Afrique du Sud qui sont décrites sur le site du Quai d’Orsay accessible depuis le lien suivant. Ces pièces prouvant la filiation du mineur avec les autres personnes voyageant avec lui sont indispensables, certaines compagnies aériennes les exigeant dès l’embarquement depuis votre point de départ. Il est donc très important de suivre les recommandations suivantes :Conseils sur France Diplomatie https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/conseils-par-pays-destination/afrique-du-sud/#entree
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les États-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Visa
Pas de visa pour les ressortissants français. Pour les autres nationalités, se renseigner auprès du consulat ou de l'ambassade.
IMPORTANT POUR VICTORIA FALLS :
Les vols allers et retours s’effectuent par l’aéroport de Victoria Falls au ZIMBABWE, ou par l’aéroport de Livingstone en ZAMBIE (les chutes étant à la frontière des deux pays). Dans les 2 cas, il vous faudra un visa double entrée, que vous pourrez obtenir directement à la frontière avec un passeport valide au moins 6 mois après le retour. Comptez 50 US$ pour un visa double entrée à Livingston en Zambie.
Conseils pour l'obtention du visa
Adresses des consulats
- Botswana High Commission
6 Stratford Place
London W1C 1AY
Tél. : (020) 7499 0031
Fax : (020) 7647 1000 - Ambassade du Botswana
88 Avenue de Iéna
75116 Paris
Tél. : 01.47.20.08.23
Fax :
bostwana@brutele.be
Santé
Prévention du paludisme :
Pour l'Okavango (Nord du Botswana), une prévention contre le paludisme (malaria) est fortement recommandée. Le Botswana est classé en zone 3.
Le Mashatu (Sud du Botswana) est moins concerné mais reste classé en zone 3.
Cette maladie parasitaire est transmise par les piqûres de moustiques et impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…).
A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé.
Vaccinations :
- En raison d’une forte prévalence et de l’apparition récente d’une nouvelle forme très résistante de la tuberculose, la vaccination antituberculeuse peut-être recommandée, en particulier chez les enfants.
- La vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire pour tout voyageur en provenance d’un pays où sévit la fièvre jaune à l’état endémique, mais peut être conseillée à tous les voyageurs.
- La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est recommandée.
- Autres vaccinations conseillées (selon conditions d’hygiène et durée du séjour) : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B.
Demandez conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales avant le départ.
La responsabilité de CHEVAL D'AVENTURE ne saurait être engagée dans le cas où vous devriez rentrer en France à cause du non respect de ces obligations personnelles de santé.
Assurance
Nous vous proposons une assurance MULTIRISQUES comprenant l'annulation, l'interruption et l'assistance rapatriement pour tous les pays du monde où nous voyageons. En cas d'incident au cours du voyage, les accompagnateurs connaissent bien les procédures de rapatriement ou d'assistance. Leur mise en jeu est ainsi largement facilitée.
Si vous ne souscrivez pas notre assurance MULTIRISQUES, nous vous demandons de signer une décharge de responsabilité et de vérifier que vous êtes assurés par ailleurs. Vérifiez les garanties souscrites et les processus de déclenchement, emportez avec vous le numéro de téléphone d'urgence de votre assurance.
Enfin, faire une liste chiffrée du contenu de votre sac peut également être une bonne précaution en cas de destruction ou de perte de celui-ci !
Informations pays
Carte d'identité du pays
Capitale : Gaborone
Superficie : 581 730 km2 (environ celle de la France)
Population : 2 098 018 habitants
Peuples et ethnies : Tswana (79%), Kalanga, San, Mbukushu, Yei, Herero
Langue : anglais, setswana, sekalanga
Religion : chrétiens (71,6%), badimo (6%)
Régime politique : République
Président : Seretse Khama Ian KHAMA
Vice-président :
Le saviez-vous ? : Le click dans la langue. Les Bushmen parlent des langues différentes, qui toutes incorporent des clicks (consonnes inspirées) traduits dans l’écriture par « l » ou « ll ».
Données socio-économiques
PIB par hab.: 10 700 $US
Croissance: 5,5%
Inflation: 8,6%
Chômage: 7,5%
Principales activités: extraction minière (diamants, cuivre, nickel), agriculture, sylviculture
Principaux partenaires: Afrique du Sud, Royaume-Uni, Zimbabwe
Histoire
I/IIe siècles - Arrivée des agriculteurs et des pasteurs bantous.
XIVe siècle - Les Kgalagadi, première tribu de langue tswana parvenue au Botswana, atteignent le Transvaal.
XVIIIe siècle - La fragmentation pacifique des tribus bantoues se généralise. Cet éclatement est à l'origine des grands groupes tswanas modernes.
XIXe siècle - Le peuple herero, nomade et essentiellement pasteur, fuit la colonisation allemande en Namibie et se fixe au nord-ouest du Botswana. Les Tswanas, conscients des inconvénients de la dispersion, se regroupent en une société hautement structurée.
1885 - Après la première guerre des Boers, la Grande-Bretagne fonde au Botswana la Colonie de la couronne britannique du Bechuanaland, rattachée à la colonie du Cap. L'établissement de ce protectorat vise à enrayer l'expansionnisme boer au nord et à l'ouest ainsi qu'à barrer la route aux autres puissances européennes, notamment l'Allemagne. Les chefs tribaux voient leurs rites, traditions et modes de vie irrémédiablement bouleversés (introduction de la technologie occidentale, de l'économie numéraire, d'un régime fiscal...) ; on leur attribue une "réserve" tribale où ils ont autorité sur les populations autochtones.
1956 - Seretse Khama, héritier du trône ngwato, prend les fonctions de vice-président du conseil ngwato
1960 - Création du "Bechuanaland People's Party", à visées nationalistes. Seretse Khama fondera deux ans plus tard un autre parti plus modéré, le BDP
1966 - Le pays accède paisiblement à l'indépendance. Seretse Khama, attaché aux règles d'un système démocratique, en est le président
1980 - Mort de Seretse Khama. Le BDP continue de détenir la majorité au Parlement. Le Botswana connaît une croissance économique rapide.
1998 - Festus Mogae est élu président.
1999 - Le BDP du président Mogae remporte la majorité aux élections d'octobre.
2000 - Les Nations unies estiment que le pays compte le plus fort taux au monde d'adultes atteints du sida : 36%, soit un actif sur quatre. En décembre, le président Mogae lance un programme de prévention du VIH.
2001 - L'afflux de réfugiés politiques dans le Nord menace la stabilité de la région. Plus de 2 000 Namibiens fuyant la répression dans la région de Caprivi sont accueillis en février, suivis par des réfugiés angolais.
2002 - Un accord est signé entre le Botswana et la Namibie prévoyant le rapatriement des réfugiés namibiens.
2003 - Malgré la campagne de dépistage et la distribution gratuite et généralisée d'antirétroviraux, le nombre de malades du sida sous traitement reste faible.Le Botswana est salué par le Forum économique mondial comme étant le pays le moins corrompu d'Afrique.
2004 - Festus Mogae est réélu à la présidence du pays.
2006 - À la suite de l'arrêt d'un tribunal botswnanais, les Bushmen peuvent légalement retourner vivre sur les terres dont ils ont été expulsés.
2008 - Après la démission de Festus Mogae le 1er avril, Seretse Ian Khama, alors vice-président, prend la présidence du pays, se préparant ainsi aux élections présidentielles de 2009. Seretse Ian Khama est le fils du premier président du Botswana, et un ancien chef de l'armée du Botswana
Géographie
Privé de tout débouché maritime, le pays, bordé par l'Afrique du Sud, le Zimbabwe, la Zambie et la Namibie, consiste en un vaste bassin de sable caractérisé par une savane broussailleuse. Au nord-ouest coule l'Okavango, qui infiltre les sables du désert et forme un delta de 15 000 km?, tandis que dans les dépressions du Nord-Est s'étendent les grands déserts salins des Makgadikgadi Pans. Le territoire est occupé à près de 85% par le Kalahari, étendue semi-aride de crêtes, de dépôts de sable et de longues vallées sablonneuses.
FAUNE ET FLORE:
L'Okavango constitue une précieuse source d'eau pour le Botswana comme pour ses voisins : le gouvernement namibien a ainsi proposé en 1997, suite à une grave sécheresse, de construire un aqueduc de 1 250 km reliant l'Okavango à Windhoek - qualifié à l'époque d'"urgent". Les fortes pluies en 2000 ont ajourné ce projet.
Autre débat : la "buffalo fence" (son nom officiel est la Veterinary Cordon Fence), barrière en fils d'acier à haute tension qui traverse depuis 1954 certains des paysages les plus sauvages du pays. Si elle sépare les troupeaux de buffles sauvages du bétail domestique et empêche la propagation de la fièvre aphteuse, elle empêche aussi les animaux sauvages d'emprunter les itinéraires de migration séculaires vers les sources d'eau ; la population de gnous a ainsi chuté de 99% au cours de la dernière décennie, et tous les buffles et les zèbres sont bloqués au Nord des barrières.
Cela étant dit, si vous rêvez de vastes savanes et d'animaux en liberté, le Botswana vous enchantera : il est en grande partie composé de réserves sauvages peu développées, et recouvert de savane ou de forêts de mopane. L'environnement du delta de l'Okavango se caractérise pour sa part de marécages, de nénuphars, de roseaux, de papyrus, de palmiers et d'arbres à saucisses.
Côté faune, citons seulement les 70 espèces de serpents, les 500 espèces de papillons, les oiseaux, d'une extraordinaire diversité... Les parcs nationaux, sans nul doute les plus sauvages du continent, abritent la plupart des espèces d'Afrique australe, y compris les plus rares, tels le cobe de Buffon, le sitatunga ou le lycaon.
Les Tswanas, habitants traditionnels du pays et presque exclusivement éleveurs, ne se sont pas établis dans le delta à cause de la mouche tsé-tsé qui y décimait leurs troupeaux. La mouche tsé-tsé est pratiquement éradiquée mais les bergers n’ont pas migré, ce territoire grand comme la Suisse est presque vide d’hommes.
Au cours de votre visite dans ces parcs, nous vous rappelons qu'il est interdit de ramasser quoi que ce soit (os, restes d'animaux, cueillir des fleurs, plantes,...). Les feux ne sont autorisés que dans les lieux de campement, et doivent être éteints avec grand soin avant votre départ. Et nous vous demandons de veiller attentivement à ne rien laisser derrière vous après votre départ (mégots de cigarettes, déchets divers, restes du pique nique...).
Peuple, culture et traditions
Il est indispensable de dire bonjour et au revoir à toute personne entrant ou quittant la pièce ; mieux vaut donc apprendre les termes de politesse et les utiliser sans compter. Dans les campagnes, les salutations verbales sont souvent accompagnées de claquements de mains.
Les salutations " dumêla rra ", qui s'adressent aux hommes, et " dumêla mma ", s'adressant aux femmes, sont des compliments, et les Botswanais en usent abondamment. Pour vous adresser à un groupe, dites " dumêlang ".
Expression utile, " go siame ", en fin de conversation, équivaut à "d'accord, pas de problème".
Ko ko ! : bonjour ! (du pas de la porte)
Tsweetswee : s'il vous plaît
Kea itumela : merci
Ee / nnyaa : oui / non
Ke kopa tsela : excusez-moi (litt. : je voudrais la route)
O kae ? : ça va ?
Ke teng : je vais bien (familier)
Ke tlhotse sentle : je vais bien (poli)
A o tsogile ? : comment allez-vous ? (litt. : comment vous êtes-vous réveillé ?)
A o bua Sekgoa/Seenglish ? : parlez-vous anglais ?
Borotho : pain
Dijo : nourriture
Metsi : eau
Leina la me ke... : je m'appelle...
Pula : à votre santé
Si l'on vous offre un cadeau, prenez-le de la main droite en tenant votre coude droit avec la main gauche.
Par exemple, quelqu'un vous demande quelle équipe vous soutenez, dites que le football n'est pas votre tasse de thé, c'est la réponse la plus sage. Et quand la conversation vient à rouler sur la religion ou le nationalisme écossais, c'est le moment de pratiquer votre don de l'écoute, du moins jusqu'à temps d'être sûr de savoir où vous mettez les pieds.
LANGUE :
Si l'anglais est la langue officielle, enseignée aux enfants dès les classes primaires, la langue nationale est cependant le tswana (ou setswana), idiome bantou compris par 90% de la population. Le second idiome bantou parlé au Botswana est le kalanga (ou sekalanga). Les Tswana, ethnie majoritaire du pays, sont appelés "Batswana". L'anglais local est désigné par le terme "Seenglish". Quant aux San, ils parlent des idiomes khoisan que caractérisent les "clics", ou sons palataux obtenus en claquant la langue sur les dents ou la voûte du palais.
ARTS :
Le peuple batswana a toujours su donner à ses objets utilitaires originalité et beauté. La vannerie se classe au premier rang des arts traditionnels ; les paniers, tressés avec les pousses fibreuses du cœur du palmier mokolane, coupées et bouillies dans des teintures naturelles, sont de véritables ouvres d'art et usent de tourbillons et de motifs aux nom évocateurs.
Les sculpteurs sur bois utilisent le grain épais du mopane pour réaliser des bijoux et des figurines d'animaux.
Quant à l'architecture tswana typique, elle consiste en des cases rondes daga appelées ntlo ou rondavel. Certaines de ces cases sont faites de briques fabriquées avec de la terre de termitière, puis recouvertes d'un mélange de bouse de vache (boloko) et de terre de termitière. Les poteaux (maotwana) proviennent d'arbres solides et sont attachés ensemble avec des branches souples ; le chaume de toiture (motshikiri) est ensuite cousu sur ces branches souples, puis enduit d'huile et de cendre.
GASTRONOMIE :
La cuisine nationale n'a de nos jours rien d'extraordinaire ; seule la capitale offre un choix international (on y trouve des restaurants chinois, indiens, français, italiens, portugais...). Ailleurs, les menus varient peu : poulet, frites, bœuf et fritures sont la norme, ainsi que le mabele ou le bogobe (respectivement porridge de millet et de sorgho), ou encore le phaletshe (maïs), servi avec une garniture de viande. Le vetkoek ("gâteau gras" en afrikaans) désigne une sorte de beignet en vente partout.
La nourriture traditionnelle, si vous la trouvez, vous fera connaître des émotions plus fortes. Dans le Kalahari, l'une des plantes les plus utiles, car sa pulpe contient de grandes quantités d'eau, est le morama ; parmi les autres friandises locales, mentionnons les fruits marula, les melons tsama et les concombres sauvages, de même qu'un délicieux mets san, type de champignon connu aujourd'hui sous le nom de "truffe du Kalahari". Nutritive, la noix mongongo, semblable à la noix de cajou, est un aliment de base des communautés san.
Autre aliment intéressant, le ver du mopane, genre de chenille qui se déguste après avoir été vidée puis cuite dans la cendre chaude, ou pilée et consommée crue.
Pour digérer vos chenilles, vous avez le choix entre les trois marques de bière locales, des vins rouges ou blancs du Cap ou diverses boissons traditionnelles : si le mokolane (vin de palme très fort) ou le kgadi (provenant de la distillation de sucre brun et de baies ou de champignons) sont illégaux, vous ne risquez rien à essayer le bojalwa (bière de sorgho commercialisée sous le nom de "chibuku"), le mageu (fait de pulpe de sorgho ou de maïs), ou le madila (lait caillé épais).
RELIGION :
Les premières religions tribales consistaient principalement en des cultes rendus aux ancêtres. Les rites comprenaient des cérémonies d'initiation des jeunes gens et jeunes filles ; le gofethla pula, adressé à Modimo, être et créateur suprême, était destiné à faire pleuvoir.
La mythologie san abonde en explications magiques des phénomènes naturels ; elle fait intervenir deux êtres surnaturels, N!odima, le bien, et son adversaire Gcawama, gredin malveillant.
Les premiers missionnaires chrétiens, apparus au début du XIXe siècle, ont expulsé pratiquement toutes les traditions des Tswana et de nombreuses autres tribus, interdisant le culte des ancêtres et les rites associés, la polygamie, l'alcool... Aujourd'hui, le christianisme, notamment la United Congregational Church of Southern Africa, est la religion principale.
Quelques mots d'échange
Ko ko ! : bonjour ! (du pas de la porte)
Tsweetswee : s'il vous plaît
Kea itumela : merci
Ee/nnyaa : oui/non
Ke kopa tsela : excusez-moi (litt. : je voudrais la route)
O kae ? : ça va ?
Ke teng : je vais bien (familier)
Ke tlhotse sentle : je vais bien (poli)
A o tsogile ? : comment allez-vous ? (litt. : comment vous êtes-vous réveillé ?)
A o bua Sekgoa/Seenglish ? : parlez-vous anglais ?
Borotho : pain
Dijo : nourriture
Metsi : eau
Leina la me ke... : je m'appelle...
Pula : à votre santé
Bibliographie
Guide
- Guide des grands mammifères d’Afrique, Edition Delachaud et Niestlé.
- Souffle Austral de Gilbert Grellet.
- Rires d’Afrique de Doris Lessing (pour le Zimbabwe)
- Le Botswana, de Marie Lory - éd° Karthala.
Cartographie
Littérature
Bien choisir votre chevauchée
Bien choisir votre chevauchée
Bien choisir son safari à cheval au Botswana.
La durée moyenne d'un safari équestre est en général de 6 à 7 jours à cheval, soit 9 à 10 jours de voyage. Le niveau requis est souvent lié à la faune présente et à l'itinérance. Ainsi la présence de lions et d'éléphants exige un niveau équestre élevé afin de pouvoir réagir rapidement. Un bon cheval de safari possède des qualités très particulières car il vit et se déplace dans un environnement où il pourrait devenir une proie. En brousse, sa relation avec l'homme le protège de ses prédateurs et particulièrement des lions. Il doit être résistant, calme. Les cavaliers ayant déjà participé à un ou des safaris à cheval ou en véhicule doivent s'interroger sur la faune et les écosystèmes différents qu'ils aimeraient rencontrés.
En milieu aquatique dans le delta de l'Okavango :
En milieu désertique ou de savane :